Voyager, rester, et repartir...

« Quand on est bien dans sa peau, voyager, c'est être ailleurs, ce n'est plus être loin », Isabelle Adjani

« Quand on ne voyage qu'en passant, on prend les abus pour les lois du pays », Voltaire

« Le plus incroyable des voyages est celui de l'intérieur », inconnu

lundi 8 novembre 2010

Il était une fois au Mexique...

Marché à la veille du bicentenaire de l'indépenance mexicaine
Il était une fois au Mexique... Ok, je vais tenter d'être un peu moins quétaine dans mon discours. Il y a près de deux mois, le terrible 9/11, j'atterissais à Guadalajara. Mi corazon était présente à l'aéroport et cette première nuit à la chandelle a été des plus agréables sous le soleil du Mexique! El Gringo va passer les détails de ce moment pour ne dire qu'une chose : bouteille de vin rouge, lumière tamisée, un matelas dans une maison vide et... discrétion sur la suite des événements.
Guadalajara, la deuxième ville en importance au Mexique, est un endroit superbe où la violence et le climat de peur et de corruption est moins important. C'est dommage que ce soit dans les montagnes et donc inconnu de plusieurs touristes qui ne connaissent que les hôtels de Cancun et les pina coladas et mojitos (s'ils se souviennent de ce qu'ils ont bus!).
Autrement, les premiers jours furent un délice... La cuisine mexicaine, c'est épicé, mais c'est bon à s'en lécher les doigts pour citer un colonel célèbre. Cela sera un sujet de texte plus tard. Pour l'instant, je peux avouer que je suis un inconditionnel de la sauce Valentina. En fait, elle est devenue une drogue. Je ne peux plus manger sans ajouter une goutte de Valentina. J'en rêve même la nuit.


Cathédrale de Guadalajara
 
Du reste, j'ai visité le centre-ville, le marché immense, et je suis allé dire bonjour au petit Jésus noir dans la cathédrale. Je ne le croyais pas, mais réellement le christ est noir à Guadalajara, une ville à forte prédominance catholique. Et, par hasard, je me suis trouvé au Mexique pour son bicentenaire. J'ai passé cette soirée en compagnie de la famille de La Florita Rockera et les drapeaux flottaient au gré des vents sur tous les balcons du centre-ville.  
La lune de miel a cependant pris fin assez rapidement en raison des milliers de choses à faire dans la maison de Laura, la tante de la Florita rockera, mi corazon, et des demandes d'emploi à effectuer! Finalement, mon arrivée a été facilitée par la famille de Laurita. Merci à tous pour votre aide et un merci spéciale à Nori et Andres, mes beaux-parents favoris!!! 

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